Le secteur Juridique

 

 

 

 

Le Secteur Juridique regroupe les professions règlementées suivantes :

  Administrateurs judiciaires et mandataires judiciaires à la liquidation des entreprises,
  Avocats,
  Avocats au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation
  Avoués,
  Commissaires-Priseurs,
  Experts Judiciaires,
  Greffiers des Tribunaux de commerce,
  Huissiers de justice,
  Notaires.

 

Le mot du Vice-Président en charge des relations avec les officiers ministériels.

L’Office ministériel, une entreprise libérale type

Les officiers ministériels se répartissent en 5 professions dont certaines sont bien connues du grand public :

  les Notaires au nombre d’environ 9500,
  les Huissiers au nombre d’environ 2500,
  les Commissaires-priseurs judiciaires au nombre d’environ 450,
  les Greffiers de commerce au nombre d’environ 250,
  les Avocats au Conseil d’Etat et à la Cour de Cassation au nombre d’environ 200.

L’ensemble de ces professions emploie environ 65.000 salariés. Toutes ces professions ont su adapter leur exercice professionnel et l’organisation de leurs entreprises aux techniques les plus récentes. Bien que professionnel libéral, l’officier ministériel ne peut exercer qu’après avoir été nommé dans son Office par arrêté du Garde des Sceaux, ministre de la Justice. En effet, le nombre de ces professionnels est volontairement limité (numérus clausus) pour garantir un équilibre harmonieux avec la clientèle potentielle et un contrôle disciplinaire et déontologique utile. Enfin, pour garantir une parfaite transparence économique, ces professions sont rémunérées sur la base d’un tarif légal identique pour tous.
Chacune de ces professions structurées est représentée au niveaux régional et national par une chambre ou un ordre. Ces structures ordinales sont garantes de la déontologie, de la solidarité, et du dynamisme des professions concernées, tant auprès du justiciable que des pouvoirs publics. Compétence, engagement, accessibilité et discipline sont les principales qualités qui caractérisent l’officier ministériel. C’est donc tout naturellement qu’ils ont été parmi les fondateurs de la Chambre Nationale des Professions Libérales (CNPL).